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Bras en l’air, têton l’air, un nouvel aire souffle sur Paris!

08 May 2019

MAD MAD Talent Mood of the day

Victoria est la preuve que quelque soit votre parcours initial, vous pouvez devenir un artiste.

Etudiante en marketing et communication, elle développe sa signature artistique au cours des années.

Désormais, elle est illustratrice digital et artisanal alliant des oeuvres minimalistes et dynamiques afin de créer un univers coloré et explosif.

Découvrez son parcours et sa personnalité d’un dynamisme sans nom ainsi que ses projets pour le futur.

Comment te décrirais-tu en une phrase ?

Comme l’indique mon nom d’illustratrice/artiste, le bras en l’air fait aussi référence au fait d’avoir la tête en l’air, d’être très enjouée dans mon activité, vivante, dynamique, telle une boule de feu, une fusée au top départ.

Qu’as-tu étudié et comment as-tu décidé de te lancer dans ce domaine ?

J’ai étudié et j’étudie toujours la communication, le marketing et plus récemment le webmarketing pour m’enrichir davantage sur ce qui fonde notre monde de demain (je suis CM dans l’IT en parallèle de mon activité d’illustratrice).

Je ne me suis pas décidée à me lancer, j’ai été propulsée inconsciemment.
Je m’amusais à modifier graphiquement mon CV, j’étais plutôt contente du résultat. J’en ai inspiré plus d’un. Mes amis ont commencé à me solliciter pour créer les templates de leurs CVs et petit à petit, ce fut la naissance de ma micro-entreprise. Aujourd’hui je continue à réaliser des prestations pour des PME et petits commerces. À côté, je m’exprime à travers des visuels beaucoup plus représentatifs de ma personnalité et de mes centres d’intérêts.

Quels sont certains de tes passe-temps ?

En excluant tout ce qui est production artistique, je prends plaisir à lire un bon livre, à nourrir ma soif d’apprendre autour d’expositions. Grande adoratrice des road trips, j’aime m’octroyer des périodes de voyages. Le prochain en date : New-York en Juin (et peut-être Madrid avant ?)
Je me sens libre quand je chante et globalement, la musique représente pour moi beaucoup de choses. Une majeure partie de mon temps libre (une artiste qui parle de temps libre, c’est exceptionnel notons-le) est consacrée à la chasse aux nouveaux hits pas trop célèbres, un peu dans l’ombre, que j’adore sublimer et partager.

Qu’est-ce que ça fait d’être sur la scène artistique française ?

C’est un vrai challenge, et c’est ce qui me plaît dans ce travail. Au delà des frontières, être une artiste demande beaucoup de rigueur, de réflexion et d’organisation.
J’ai pris une très bonne décision en choisissant la ville de Paris pour me développer artistiquement. La capitale regorge d’expositions, de vernissages et d’événements qui évoquent l’art en général, de quoi trouver de l’inspiration.

Quelle est le projet sur lequel tu as préféré travaillé ?

Mon top 1 est un peu prématuré mais je m’associe très prochainement à une boutique madrilène pour exposer des tableaux qui se fondent dans un décor très fleuri et joyeux, tout ce qui me ressemble.

Tu peux nous parler de tes projets d’avenir ?

Ça fuse de partout, mais je ne perds pas pied.
Comme dit plus haut, Paris me donne la chance de me développer. Je fais acte de présence à de nombreux événements, je rencontre peut-être les bonnes personnes…
Deux projets sont à venir à Madrid, je vais devoir apprendre à gérer mon projet à distance, un nouveau défi qui créer beaucoup d’excitation en moi !
Des projets tournés très food, j’avoue aimé dessiner des burgers à longueur de journée…

Beaucoup de projets à l’international : Berlin (Allemagne), Madrid (Espagne), Sofia (Bulgarie), un double investissement non négligeable.

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